Mon grand-père et ma marraine étaient médecins. Je ne sais pas si cela vient d’eux, mais le fonctionnement du corps humain m’a toujours intéressé. Avec le temps, cet intérêt scientifique s’est doublé d’un autre : celui pour l’aspect humain, presque social, de la médecine. Du côté de Julie, c’est un peu pareil. Fille de psychiatre, elle aime comprendre les choses. Avec sa douceur innée, elle a un excellent contact avec les enfants. D’où le choix de la pédiatrie avec une spécialisation : la gastro-pédiatrie.

Pour l’instant, je suis encore en formation. Je mène une recherche, financée par le FNRS, sur l’acide urique en tant que facteur de risque cardio-vasculaire. L’an prochain, j’entamerai ma dernière année de cardiologie à Charleroi. 

J’ai contacté la Bank Van Breda quand nous cherchions, Julie et moi, à financer l’achat d’un appartement. C’était en février 2018. J’avais entendu parler de la Bank Van Breda à la radio et je savais qu’ils avaient une approche spécifique dédiée aux professions libérales. J’en ai vite eu confirmation ! Alexis Vandenbulcke est venu à la maison. Rien que ça, c’est une appréciable adaptation à notre mode de vie dont les horaires ne collent pas du tout à ceux des banques traditionnelles. Autre grand avantage : nous sentir véritablement accompagnés. Car avec la vision à long terme de la Bank Van Breda, nous avons trouvé bien plus que le financement de notre appartement.

Quand on a signé le crédit, Alexis n’a pas estimé sa mission terminée. Il a immédiatement vu plus loin en abordant avec nous la question de notre avenir. Comment on le voyait. Comment on se voyait plus tard. Et surtout comment on s’y préparait. Nous lui avons ainsi fait part de notre projet d’acheter une maison dans les cinq ans environ. Julie était encore enceinte et on voulait s’octroyer le temps de mettre un peu d’argent de côté. Sans oublier que j’ai encore une spécialisation à finir.

Sur cette base, Alexis nous a proposé de mettre en place un plan d’investissement. Après réflexion, nous l’avons suivi et en retirons aujourd’hui un double intérêt : d’une part nous réalisons un meilleur rendement que sur un compte d’épargne. D’autre part nous nous familiarisons avec ce type d’outil financier. Sur le montant mensuel investi, Alexis nous a conseillé de commencer en douceur : 80 % dans un plan à terme qui protège le capital des taux négatifs et 20 % dans des fonds d’investissement. Libre à nous, au fil de notre apprentissage, d’amplifier cette partie plus dynamique.

De toute façon, je suis confiant. Alexis sait où on veut aller et il ne prétend jamais tout savoir. S’il hésite ou ignore la réponse à notre question, il s’informera auprès de l’un de leurs spécialistes en interne. Cette attitude me plait. J’y vois une personne fiable. J’en fais d’ailleurs autant avec mes patients. »