Jens Rottiers : « En général, quand on demande aux enfants ce qu’ils veulent faire plus tard, ils haussent les épaules. Moi, j’ai toujours su que je voulais devenir médecin.

C’était une certitude qui s’est renforcée à mesure que mes stages progressaient. C’est comme si j'avais été fait pour ce métier.

Je suis médecin généraliste depuis 2 ans, le premier de ma famille. Nous comptions déjà quelques infirmiers. J’ai toujours été baigné dans le milieu. Mais en tant qu’infirmier, on a principalement un rôle d’exécution. Je préfère être dans le cockpit : j'ai donc délibérément choisi une autre profession du secteur médical.

Je veux que ma présence ait un sens pour mes patients. Être une sorte de confident, afin qu'ils puissent venir me parler sans crainte. C'est un travail difficile. Ce n’est pas simple d’obtenir la confiance des gens, même pour un médecin. Mais une fois cette confiance obtenue, le lien avec eux ne fait que se renforcer.

J'ai des patients qui me font une confiance absolue. Je connais leur contexte familial. Je sais ce qu'ils pensent et ressentent. Je fais vraiment partie de leur vie. C'est précisément cet aspect personnel qui est si important pour un médecin généraliste.

Je le compare parfois au lien que j'aie avec Ronald, mon Account Manager à la Banque Van Breda. Je lui fais confiance et je le vois comme une caisse de résonance vers laquelle je peux toujours me tourner. Je veux que mes patients aient le même sentiment.

J'ai commencé à exercer avec un binôme il y a deux ans. Mon confrère cherchait à collaborer avec un autre médecin généraliste vu la taille de sa patientèle. J'ai saisi cette opportunité à deux mains.

Nous sommes parfaitement en phase l’un avec l’autre. De temps en temps, je frappe à sa porte pour des conseils. Il apprécie ma vision un peu plus jeune de la profession. La différence générationnelle joue clairement en notre faveur.

J’ai rejoint la Banque Van Breda juste après mes études. À l’époque, je souhaitais déposer ma prime INAMI sur mon compte. Et puis les choses se sont enchaînées. J’ai rapidement lancé un plan d’épargne fiscal, par exemple.

Et puis un jour, Ronald m’a parlé du plan d'investissement. En tant que jeune médecin débutant, je n'avais pas encore constitué de capitaux importants dans l'entreprise. Je trouvais qu’il était trop tôt pour investir. Mais Ronald m'a convaincu du contraire.

Il a d'abord écouté mes plans. Qu’est-ce que je comptais faire avec le capital que j’allais constituer au sein de mon entreprise ? Je n'avais pas de grands projets. Et vu le contexte actuel, laisser ce capital sur un compte d’épargne ne constituait pas la meilleure option.

‘Pourquoi ne pas optimiser le rendement de ce capital ?’ m'a-t-il demandé. Il avait raison. J’étais prêt à démarrer un plan d’investissement.

Ronald a immédiatement établi mon profil de risque. J’avais le choix entre le rendement et la sécurité. Nous avons choisi le meilleur des deux mondes et diversifié le portefeuille de placement. Nous répartissons le montant mensuel en placements sûrs et légèrement plus risqués.

J’ai commencé à investir jeune et il me reste encore pas mal d’années devant moi pour constituer un joli capital supplémentaire. Pour plus tard. Ou pour faire un investissement. Je peux augmenter ou diminuer le montant mensuel si mes revenus varient ou si j’ai d’autres projets. J’apprécie cette flexibilité.

Mon plan d'investissement m’offre la tranquillité d'esprit. Je n’ai ni le temps, ni les connaissances nécessaires pour m’en occuper moi-même. Ronald s’en charge à ma place. Avec mon comptable, il m'a incité à investir à l’aide d’une stratégie claire, et je lui en suis reconnaissant. Ma situation financière est entre de bonnes mains ».